- Adoption de la Convention contre la criminalité organisée
- Contexte historique : pourquoi Palerme ?
- Caractéristiques de la Convention contre la criminalité organisée
- Les protocoles
- Instruments internationaux connexes
- Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC)
- La Conférence des Parties à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée
- Résumé
- Références
Premièrement publié en 2018.
La partie sur la Perspective régionale : la région des îles du Pacifique - a été ajoutée en avril 2020
La version francophone de ce module a été publiée en février 2021
Ce module est une ressource pour les enseignants
Résumé
La Convention contre la criminalité organisée est un cadre juridique novateur de lutte contre la criminalité transnationale organisée. Créée en l'honneur du juge anti-mafia Giovanni Falcone, la Convention intègre l'incrimination de plusieurs infractions liées à la criminalité organisée (par exemple, la participation à un groupe criminel organisé, la corruption, le blanchiment d’argent et l’entrave au bon fonctionnement de la justice) et propose des dispositions qui peuvent être utilisées pour faciliter les enquêtes, l’application de la loi et la coopération internationale en matière de criminalité organisée. Le cadre juridique international de lutte contre la criminalité transnationale est complété par les protocoles additionnels à la Convention relatifs à la traite des personnes, au trafic illicite de migrants et au trafic illicite d’armes à feu, ainsi que par la Convention des Nations Unies contre la corruption et les trois principaux traités internationaux relatifs au contrôle des drogues. La Conférence des Parties à la Convention et les groupes de travail s’efforcent d’améliorer la capacité des États parties à lutter contre la criminalité organisée et de promouvoir et examiner la mise en œuvre de la Convention contre la criminalité organisée.
Section suivante : Références
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