Ce module est une ressource pour les enseignants
Lectures de base
Cette rubrique fournit une liste de lectures de base (principalement en accès libre) que les enseignantes et enseignants peuvent demander à leurs étudiant(e)s de lire avant de suivre un cours basé sur ce module.
- Chimamanda Ngozi Adichie (2017). Chère Ijeawele ou Un manifeste pour une éducation féministe. Éditions Gallimard.
- Comité CEDAW (1992). Recommandation générale nº 19 sur la violence à l’égard des femmes.CEDAW/C/GC/19. New York : ONU.
- Comité CEDAW (2017). Recommandation générale nº 35 sur la violence des femmes fondée sur le genre CEDAW/C/GC/35. Il s’agit de la version actualisée de la Recommandation générale nº 19. Elle identifie la violence contre les femmes comme une violation du droit international coutumier, l’une des règles fondamentales applicables à tous les États. New-York : ONU.
- Recommandations générales du Comité CEDAW (à compter de 1986).
- CEDAW Committee (1992). General Recommendation No. 19 on Violence Against Women. CEDAW/C/GC/19.
Les deux documents précédents amorcent le projet de considération de la violence contre les femmes comme un problème de droits fondamentaux.
- Nations unies (1993). Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes, Résolution AG 48/104. New York : ONU.
- United Nations (1993). Declaration on the Elimination of Violence against Women , GA Resolution 48/104. New York: UN. » The above two documents are the start of the project to consider violence against women as a human rights issue.
- CEDAW Committee (from 1986 onwards). General Recommendations.
- Chimamanda, Ngozi Adichie (2017). Dear Ijeawele, Or a Feminist Manifesto in Fifteen Suggestions. Knopf Publishing Group.
- Copelon, Rhonda (2012). End Torture, End Domestic Violence . En ligne : magazine On the Issues. Il s’agit d’une version en accès libre de l’article de Rhonda Copelon qui somme le cadre international des droits de l’homme de prendre au sérieux la question de la violence contre les femmes perpétrée par des acteurs autres que des représentants de l’État : ce fut la première étape des efforts d’organisations féministes visant à éradiquer la violence contre les femmes en faisant un usage créatif du droit international sur les droits de l’homme.
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